Nous rentrons dans l’exposition et sommes confrontés au premier film (Les Disparates, 1999). Sur un très grand écran, grandeur nature Boris Charmatz danse un solo décalé, humoristique, très corporel. Il danse et occupe différents espaces que lui offre Dieppe la veille de Noël. La ville lui propose son pont tournant, ses quais, son café, ses […]